La cigarette électronique est un dispositif composé d’une batterie et d’un atomiseur qui, sous une impulsion de courant électrique, va chauffer une résistance qui va pulvériser un liquide qui contient ou non de la nicotine. Incontournable des substituts au tabac, ce dispositif représente un accessoire électronique qui fournit un aérosol et produit de la vapeur qui est destiné à remplacer à la longue la fumée produite par les vraies cigarettes. Cette vapeur représente pour le fumeur une simulation de la fumée qu’il est censé inhaler, grâce au fameux système de résistance qui brûle la petite mèche imbibée de liquide…
Tout savoir sur la cigarette électronique Geek Vape !
L’apparition de la cigarette électronique date de très loin (en 1963) par un chercheur dénommé A. Gilbert. Ce dernier est celui qui a produit le premier substitut de la cigarette, qui n’a pourtant pas été commercialisé dans le temps. Depuis, la notion «électronique» n’a jamais refait surface jusqu’en 2009 où le chinois Xin propose le E.N.D.S à savoir : Electronic Nicotin Delivery System. Ce système proposé par Xin représentait un dispositif compact et facile à utiliser qui peut remplacer la tige qui tue. De ce fait, les appareils, alors conçus dans les industries chinoises à Hong Kong et Shenzhen font vite le tour du monde et ne mettent pas du temps à convaincre la société de consommation européenne et américaine.
En principe, toutes les cigarettes électroniques se ressemblent. En effet, il s’agit d’un petit matériel qui contient une batterie encore appelée accu, un système de résistance et de mèche ou coil, un réservoir qui n’est plus nécessaire dans certains modèles comme les drippers et enfin un embout buccal ou drip tip. Elle a très vite été adoptée par les fumeurs étant donné qu’elle tient bien son rôle et promet une évolution constante grâce aux nouvelles découvertes faites par les constructeurs en matière de goûts, de mode mais aussi de sensation.
La cigarette électronique, encore connue sous d’autres appellations comme l’e-cigarette, ecig, vapote, vapoteuse, vaporisateur personnel, n’est pas un dispositif médical comme le font penser certains mais plutôt un produit de consommation courante. Aussi, La cigarette électronique est aujourd’hui très diversifiée et ne représente plus un matériel de sevrage mais plutôt un dispositif dont doivent disposer les férus de nouvelles technologies. Par ailleurs, c’est ce statut qui lui a permis de séduire une grande majorité de fumeurs qui ne se considèrent pas comme malades parce qu’ils fument.
Les liquides encore appelés e-liquides habituellement utilisés dans la vape, sont composés en majeure partie de propylène glycol (PG) et de glycérine végétale (VG), additionnés d’arômes, d’eau et de nicotine. Les deux premiers composants cités plus haut ont longuement été étudiés depuis de nombreuses années et n’ont jamais montré de danger pour l’homme. Par ailleurs, le propylène glycol est aussi utilisé dans plusieurs produits de la vie courante comme l’alimentation, les cosmétiques, les médicaments et bien plus encore. Quant aux e-liquides, elles ne sont pas des produits à ingérer car étant très désagréable et pouvant causer un malaise. Il est conseillé de ne pas les laisser traîner à la portée des enfants ou des animaux. Ce dispositif est peu ou pas du tout utilisé par les non-fumeurs et dans ce cas elle est plutôt sans nicotine. Actuellement, les e-liquides sont interdits de vente aux mineurs.
Les éléments constitutifs de la cigarette électronique
Lorsque vous choisissez n’importe quel modèle de cigarette électronique, elle est toujours composée de trois éléments. Par contre, suivant les modèles, ces trois éléments peuvent diverger. On vous apprend qu’il existe deux combinaisons possibles à savoir :
- Un atomiseur qui auparavant était appelé eGoC + une batterie + une cartouche tank + un drip tip
- Un clearomiseur (avec un réservoir et une résistance) + un drip trip (embout buccal) + une batterie.
Entrent dans la composition d’une cigarette électronique, les éléments qui suivent :
- La batterie : la batterie à cigarette électronique permet d’alimenter en électricité l’atomiseur ou le clearomiseur pour ensuite permettre une évaporation de l’e-liquide, vous avez la possibilité de recharger cette batterie via USB et ou secteur 220 voltes selon le type de chargeurs. La batterie de la cigarette électronique est le plus souvent disponible en deux capacités à savoir : la 650 Mah ou la 1100 Mah pour le modèle XL spécialement conçu pour les gros fumeurs. Ces batteries ont une autonomie d’une journée.
- Me clearomiseur : il représente un certain type d’atomiseur qui comprend d’abord un réservoir et ensuite une résistance, le tout combiné en un seul accessoire. Le clearomiseur est très apprécié par les experts car il offre des sensations presque identiques à la cigarette traditionnelle comme le hit, grâce à un système de résistance qui est la mèche. Cet élément a aussi l’avantage d’être en pièces détachables. De ce fait, vous pourrez ainsi changer uniquement le drip tip ou la résistance de votre clearomiseur sans pour autant commander tout l’ensemble. Pour vous permettre de suivre votre consommation en e-liquide, le clearomiseur intègre un réservoir transparent et gradué.
Concernant le système avec atomiseur qui était connu sous le nom eRoll JoyeTech vous avez :
- Un atomiseur : il représente le composant de la cigarette électronique qui a pour fonction de chauffer le liquide pour pouvoir le transformer en vapeur. Le modèle d’atomiseur qui nous intéresse dans ce cas est l’atomiseur classique. Il doit être accompagné d’une certaine cartouche qui contiendra le liquide. Il est primordial de savoir que la durée de vie de l’atomiseur est limitée à sa fréquence d’utilisation.
- La cartouche : il s’agit du réservoir de votre e-liquide. Elle est uniquement nécessaire dans le cas où vous utilisez un atomiseur eRoll ou eGoC, étant donné que le clearomiseur comporte déjà un réservoir.
De nos jours, vous avez à votre disposition les gammes de mod cigarette électronique. Il s’agit en effet des batteries plus sophistiquées les unes que les autres. Ces différents mods proposent de nombreux dispositifs innovants comme le : wattage variable, voltage variable, écran LCD avec une multitude d’affichages, mémorisation des paramètres antérieurs, le réglage automatique de la tension et de la puissance en fonction de la résistance installée. Ces mods ont un pas de vis de 510 et sont donc compatibles avec tous les atomiseurs et clearomiseurs disponibles sur le marché. Néanmoins, il faut préciser que certains modèles de mods ne sont pas seulement des batteries mais de véritables cigarettes électroniques avec une batterie, un clearomiseur et un drip tip. Comme mods jouant aussi le rôle de cigarettes électroniques, on peut citer : le mod Innokin Itaste 134, le SmokTech Magneto 2, le Vamo V6 et V5.
Pourquoi opter pour la cigarette électronique ?
La principale raison qui a poussé les constructeurs à créer ce petit outil technologique est sans doute le fait de penser à la santé des fumeurs. L’aérosol délivré présente une forte ressemblance avec la fumée du tabac qui tient le fumeur en état de dépendance. Dans la conception, la cigarette électronique est très réussie parce que non seulement elle se tient comme une cigarette, mais elle se fume comme tel et l’habitude ne se tarde pas. Il contribue, dans son aspect général à un véritable service communautaire au détriment du tabac. De plus, le déversement d’un fumeur à la e-Cig peut s’expliquer à travers plusieurs motifs. Mis à part le facteur santé, le dispositif a été facilement adopté par la société. Par ailleurs, elle ne produit pas de mauvaises odeurs, au contraire, les parfums et arômes du liquide dispersent une sensation d’exotisme douce et légère. Pour les amoureux et protecteurs de l’environnement, ils ne peuvent que se féliciter de cette innovation qui reste très écologique, et sans aucune chimie toxique. Pour le vapoteur en soi, le pouvoir de choisir son mode d’inhalation tout en se diversifiant, la diversité des arômes disponibles sur le marché, son liquide qui peut être plus léger ou plus fort, son efficacité en tant que matériel de sevrage ainsi que la valeur de la nicotine, ne laisse traîner aucun doute sur sa priorité devant toutes les alternatives. D’un autre point de vue, la consistance et la forme de la vapeur constituent une source de passion. C’est ainsi que plusieurs compétitions et duels ont été créées par les amateurs de e-Cig, tels que les Cloud Chasing (la chasse aux nuages) ou encore le power vaping (la vape la plus dense).
Avis des médecins par rapport à la cigarette électronique
C’est l’une des questions essentielles que tous ceux qui souhaitent quitter la cigarette doivent savoir. En effet, selon de nombreuses études, la chimie que contiennent le liquide et l’aérosol des e-Cig n’est pas aussi petite qu’on le croit. Comme outil de sevrage, il arrive qu’elle contienne mais à de faibles doses, du tabac et de la nicotine. Néanmoins, par rapport à la vraie cigarette ce ratio est 20 fois moins important et aucune autre source de tabac ne peut donc rivaliser en termes de performance et d’efficacité avec l’accessoire de vape. Des industries pharmaceutiques comme le Public Health England ont affirmé que la fumée issue de la cigarette électronique n’a aucune incidence sur la trachée ainsi que la cardiologie et elle n’est pas à 95% cancérigène. La cigarette quant à elle est cancérigène à 900%. Cet état de choses répond parfaitement à l’objectif principal visé par les constructeurs de la cigarette électronique.
Éléments constitutifs du liquide d’une cigarette électronique
Ce liquide qui est destiné à la vaporisation contient plusieurs éléments de base. Elle est composée essentiellement d’une base appelée Propylène Glycol. C’est elle qui sert à concentrer les autres ingrédients et contribue aussi à l’accumulation des arômes. Avant la loi de janvier2017 interdisant toute commercialisation de tout solvant nicotiné, elle pouvait être constituée avec de la nicotine. Cependant pour permettre d’effectuer la mission de sevrage du tabac, des fioles de nicotines sont vendues séparément et peuvent être ajoutées de manière artisanale à la solution dans une limite qui ne doit pas excéder 10ml. Cette base peut être accompagnée ou remplacée par de la Glycérine Végétale, qui est utilisée dans la plupart des compositions agroalimentaires. La VG est utile en sa viscosité, elle vous permet de restreindre les fuites de liquides mais aussi de mieux contenir les éléments chimiques. Elle est aussi très prisée par les amateurs de nuages denses et concentrés. Le liquide est aussi accompagné d’arômes très diversifiés selon le goût et le désir de chaque vapoteur. Parmi les arômes disponibles sur le marché, on peut citer entre autres les saveurs tabac mais aussi les saveurs gourmandes et fruitées.
Choix de la bonne cigarette électronique
De nos jours, il existe différents types de matériels avec les drippers qui se déclinent en plusieurs modèles ainsi que les clearomiseurs. Le choix d’une première e-Cig doit être bien analysé dans le but de découvrir tous les bienfaits qu’elle peut procurer. Selon la forme, on a le choix entre les grandes et les petites, La différence se remarque essentiellement au niveau de la consistance du liquide ainsi que de l’autonomie de l’appareil. Il vous faudra procéder à un choix entre un accessoire économique au détriment de sa praticité qui peut être encombrant à la longue et un autre qui ne nécessite pas un rechargement trop fréquent. Le critère essentiel sur lequel repose votre choix doit néanmoins être la qualité de la vape qui peut en ressortir. Pour les nouveaux, il vaudrait mieux opter pour les petits clearomiseurs conçus spécifiquement pour les débutants, à qualité raisonnable qui laisse une grande marge d’évolution à la découverte des nouvelles expériences de vape et qui est sans complications. Le vapotage étant un véritable exercice, le temps qu’il faut pour l’apprendre permet de sentir de nouveaux besoins qui entraîneront un désir plus profond de comprendre les possibilités qu’on peut retrouver grâce à ce petit bijou. Au fil du temps où l’on devient expérimenté, on pourra choisir entre un clearomiseur à forte ou à faible résistance (subohms), à simple ou à double coil (résistance) ou encore à embouts refroidissant et bien plus encore.
Comment devenir un bon vapoteur ?
Pour pouvoir apprivoiser la nouvelle fumée, vous devez procéder par étapes. Le processus ne passe nécessairement pas par beaucoup d’entrainement mais elle nécessite de la passion. Un bon vapoteur est reconnu par sa capacité à pouvoir inhaler et sentir les hits, les arômes et aussi faire de la vapeur dans une grande quantité. Tout d’abord, il faut savoir inhaler correctement la vape. Cette technique est simple et connue de tous mais elle représente la base qui fait beaucoup de différence. Soit vous appliquez une inhalation directe qui est difficile à faire mais présente l’avantage de donner une sensation plus agressive et concentrée, ou soit vous adoptez l’inhalation indirecte qui consiste à conserver une partie de la vapeur dans la bouche et ensuite la respirer. Si vous cherchez à devenir expert en la matière, vous devez pouvoir bien choisir le matériel qu’il faut pour reproduire votre désir. Chaque dosage et chaque pièce doivent être maitrisée pour pouvoir créer un effet spécifique. Néanmoins, quelques principes sont à acquérir pour pouvoir le faire. Vous devez commencer par les composants, ensuite connaître la valeur et le dosage de la base et des arômes puis de l’application de quelques théories en électricité de base comme : reconnaître la puissance de l’accumulateur, de la valeur de la résistance par la formule d’ohm.
Procédé de fabrication artisanale d’un e-liquide
Les Anglais l’appellent la méthode DIY qui est l’acronyme de Do-It-Yourself ce qui veut dire faites-le vous-même. Avec cette méthode, vous n’avez plus l’obligation d’acheter votre liquide en boutique. De toute façon, la tendance veut que chaque vapoteur concocte lui-même sa solution, surtout depuis la promulgation de la loi de janvier2017 qui prohibe les bases préconçues avec de la nicotine. Concocter soi-même l’e-liquide nécessite une connaissance de la chimie du liquide, qui n’est pas très difficile d’ailleurs. Les composants sont diversifiés mais très faciles d’accès. On y retrouve le PG (propylène Glycol) le VG (Glycérine Végétale), les arômes et les additifs comme l’eau, l’alcool et autres. Le comportement de ces ingrédients est affecté par leur dosage. Lorsque dans votre solution, le ratio de propylène Glycol est supérieur, non seulement elle sera plus concentrée, elle reproduira aussi plus les saveurs et les goûts au détriment de la densité de la vapeur. De l’autre côté, une solution à forte dose de Glycérine Végétale (il existe d’ailleurs des compositions qui sont formées en totalité de glycérine végétale) produira beaucoup de nuages qui seront très dense et onctueux aux papilles et à la trachée. Concernant les arômes, le dosage doit être proportionnel aux principes actifs de la base. De plus, vous devrez veiller à suivre les instructions sur les fioles et ne pas dépasser la limite de dosage pour éviter de mal concocter votre liquide. En principe, les arômes mettent plus de temps à fusionner avec le VG à cause de leurs molécules rigides. En conséquence, si on aime les arômes, il faudra prendre le temps de bien reposer le liquide, c’est ce qu’on appelle le temps de Steep. C’est une technique qui consiste à laisser reposer la solution pendant une durée déterminée afin de laisser les ingrédients se mélanger entre eux. La technique dépend en grande partie du dosage de VG et d’arômes. Chaque steep est unique. En effet, elle varie d’une période de 5 jours à plusieurs semaines. Le non-respect de ces indications sanctionne immédiatement le vapoteur d’une sensation fade et sans goût.
Fonctionnement du coil
Le coil est un système qui regroupe la base du montage de la résistance d’un atomiseur ou d’un clearomiseur. Il est habituellement constitué d’une résistance autour duquel une mèche ou une fibre est enroulée afin de conserver le liquide. Lorsque cette résistance est chauffée par l’accumulateur électrique, le liquide emprisonné dans la mèche se chauffe et s’évapore suivant un petit conduit qui mènera vers le drip tip encore connu sous le nom d’embout buccal.
Sans résistance, il n’y a pas de vapeur et la qualité de celle-ci dépend de la température que délivre le coil. C’est une petite science qui doit être maîtrisée aussi bien par les professionnels que par les débutants. La forme et le montage d’une résistance influent assurément sur la densité, et la qualité de la vapeur, dans le sens où un arôme doit être brûlé à une certaine température pour pouvoir s’exprimer pleinement. Cette pratique a été facilitée par ce qu’on appelle les atomiseurs reconstructibles. En d’autres termes, elle s’explique par un bricolage artisanal des paramètres du coil, qui peut être plus expressif ou plus doux. Les principales fonctions du reconstructible se basent sur la qualité des matériaux comme la mèche et le fil résistif ainsi que du montage (en parallèle, en Clapton, en torsade, double ou simple) et de la grandeur électrique de la résistance qui est renfermé sous le principe de la résistivité appelé loi d’ohm. Ce principe relève de la physique basique qui relie la résistance électrique l’intensité, la tension et la résistance électrique. Plus une résistance sera faible, plus l’intensité sera forte aux dépens du potentiel traduit par une vapeur plus dense et plus épaisse au détriment de l’économie énergétique.
Que vous soyez en mode mécanique ou électronique, le souci de la résistivité est commun à tous les vapoteurs. Même si on est face à un box qui dispose d’un système de gestion électro de la résistivité, le montage du coil devra toujours être en cohésion avec l’accu pour vous permettre d’éviter de griller le système. En mode mécanique, la prudence est de mise étant donné qu’une intensité mal gérée par la résistance risque de détruire la batterie qui pourrait rendre l’âme trop rapidement.
Entretien et réparation de la cigarette électronique
Comme tous les produits qui sont destinés à la consommation, la cigarette électronique se détériore au fur et à mesure que vous l’utilisez. Pour vous éviter de changer de manière exhaustive tout l’appareil, les pièces et les accessoires ont été conçus séparément. Sur ce, il faut entretenir individuellement chaque partie de la cigarette électronique pour pouvoir l’utiliser le plus longtemps possible. Tout d’abord, la batterie ou l’accumulateur doit correspondre à la consommation électrique du coil, if est aussi primordial de savoir que chaque résistance est dépendante de la quantité d’énergie délivrée. Retenir et appliquer les limites de protections comme les «Capacité de décharge maximum» (CDM) est essentiel, et dans le même ordre d’idée, savoir contenir et manipuler la résistivité contribue à l'entretien de la batterie.
Mis à part l’accu, le nettoyage de la cigarette électronique doit être bien fait et ceci de manière régulière. À partir d’un certain âge, les pas de vis ainsi que les raccords sont encrassés à cause de l’oxydation. De plus, Certains joints ne tiennent plus leur rôle et entraînent des fuites ou des reflux (glouglous) de liquide qui sont très désagréables une fois arrivés dans la bouche (sensation acide). À l’aide d’une petite brosse métallique et d’un chiffon absorbant, procédez délicatement au nettoyage des parois et les emboîtements des pièces, remplacez ensuite les joints et le matériel même si le besoin se fait ressentir. Si vous êtes débutant, renseignez-vous auprès du service après-vente lorsque vous constatez un dysfonctionnement. Étant donné que les produits sont fabriqués industriellement, Ils peuvent contenir aussi des défauts de fabrication. Une autre façon est de recourir aux aides virtuelles. On retrouve notamment tout ce qui se rapporte à la cigarette électronique sur la toile que ce soit sur les forums, des tutos sur YouTube ou encore par les réseaux sociaux.
Est-ce un mal d’être dépendant à la cigarette électronique ?
Si plusieurs personnes qualifient souvent la cigarette électronique comme substitut à cigarette habituelle, celle-ci rengorge quelques autres plaisirs qui peuvent devenir facilement très additifs. Néanmoins, ils ne constituent pas un danger pour la santé du fumeur. En effet, il y a 5% de risque non négligeable de toxicité dans la vapeur des cigarettes électroniques. C’est pour ce fait que la loi l’interdit aux mineurs. Par ailleurs, le vapotage est fortement déconseillé à tous ceux qui n’ont jamais touché aux vraies cigarettes. Il a été notifié que le risque d’addiction peut causer un effet contraire et ainsi entraîner le commencement par une faible dose de nicotine pouvant entraîner une réaction en sens inverse qui conduirait le vapoteur à passer au vrai tabac.
Les constructeurs, dans la conception de l’appareil, avaient pour but de pouvoir apaiser le sevrage du tabagisme sans aller jusqu’à créer une nouvelle dépendance. La vision qu’on doit avoir de la cigarette électronique doit donc rester positive et mener vers une totale indépendance vis-à-vis du tabac, le reste ne devient qu’une passion passive qui ne peut causer de dommages aux nouveaux fumeurs.
Au cas où votre besoin grandit dans le sens de nouvelles saveurs non relatives à la nicotine et au tabac, c’est que la mission de votre appareil est accomplie. Dans le cas contraire, vous devez songer à changer de mode de sevrage et recourir à un autre système comme les patchs.
En résumé, la cigarette électronique est née dans un contexte humanitaire et sanitaire et sa mission principale consiste à sevrer. Cependant avec l’évolution des systèmes de vape beaucoup de possibilités s’offrent aux utilisateurs en termes de sensation et de saveurs. Rien n’indique cependant que ces modalités soient fondées sur le besoin sanitaire mais consistent simplement à varier le plaisir afin de ne pas décourager les vapoteurs qui sont déjà chanceux d’être débarrassés des dangers de la cigarette traditionnelle.